Né à Paris, vers 1606.
L’un des amis de Conrart, (et de Mlle de Gournay), occupa différents emplois dans l’armée dont le dernier était commissaire de l’artillerie. Il était le second de cinq frères dont l’abbé de Cérizy était le troisième. Il prit part à la rédaction des Statuts, et a laissé quelques poésies manuscrites ; une seule a été imprimée, le Temple de la mort, « qui est, dit Pellisson, une des plus belles de notre poésie française ». Il fut tué par la chute d’un mur au siège d’Emerick (Hainaut) en 1638 ; son éloge fut fait par Gombauld et son épitaphe en vers par Chapelain (Voir Le Chancelier Séguier, par R. Kerviler).
Mort en 1638.