La subordonnée complétive de but, encore appelée complétive finale, peut être introduite, entre autres, par la locution conjonctive pour que : Il prie pour qu’il pleuve. Lorsque cette subordonnée est à la forme négative, la négation se trouve à l’intérieur de la subordonnée, c’est-à-dire après pour que : Il prie pour qu’il ne pleuve pas. Placer la négation pas, ou ne pas, entre pour et que est une incorrection, qui s’accompagne souvent de l’omission de la négation ne.
on dit |
on ne dit pas |
Fermez la porte pour que les enfants ne sortent pas Il va le voir pour qu’il ne se sente pas seul |
Fermez la porte pour ne pas que les enfants sortent Il va le voir pour pas qu’il se sente seul |