Le verbe paraître, employé dans des tournures impersonnelles, peut se construire avec une proposition complétive introduite par que : Il paraît qu’elle va venir demain. On peut également l’utiliser, cette fois sans complétive, en incise, avec inversion du pronom impersonnel sujet : Elle va, paraît-il, venir demain. Mais c’est une incorrection de mêler ces deux formes. Rappelons aussi que la forme familière à ce qu’il paraît ne doit pas s’employer dans une langue soignée.
On dit |
On ne dit pas |
Il paraît qu’il va neiger Il est, paraît-il, très riche |
Paraît-il qu’il va neiger Paraît-il qu’il est très riche |